C'est avant tout un chien ultra professionnalisé, indispensable à réguler l'espèce (singularus procus), lequel sans ce genre de spécialiste ne peut être contrôlable dans la plupart de nos régions de France et mêmes frontalières.

Cet élevage demande une attention très particulière. L'erreur peut être capitale à l'échec... Ce sont avant tout, des origines qui doivent impérativement se succéder les unes aux autres, de génération en génération.

Toutes races de chiens courants confondues ne jouent strictement aucun rôle en matière de flaire, leur finesse est d'une importance capitale et en parallèle, de caractère du guerrier.

Ce sont en réalité des "guerriers" qui affrontent l'ennemi indomptable. Ceux- ci s'exposent à des risques fréquents qu'ils rencontrent sur leur parcours de chasse en partie imprévus et qui à la base, créent d'importants litiges dans certaines transactions entre éleveurs-formateurs et acquéreurs laquelle fort malheureusement, l'incompétence judiciaire ne soit en mesure de non seulement mesurer les conséquences mais souvent bafouer les procès litigieux qui sont inadmissibles auprès de l'"éleveur-formateur" sans aucune reconnaissance de la fragilité et sensibilité de ces professionnels du combat que sont les "rapprocheurs spécialisés", lesquels ne seraient pas générer en parallèle de l'acquéreur et son incompétence au stade d'une vision robotisée.

Un rapprocheur spécialisé doit atteindre l'âge adulte de trois (3) années de formation au terme de son professionnalisme contrairement au chien de non voyant, d'avalanche ou de recherche de drogue, lesquels sont à terme dans leur deuxième année de formation. Différence éloquante...

Ce régulateur, demande à son accompagnateur-formateur en dehors d'une parfaite compétence, un entraînement physique égal à un athlète de haut niveau. Son accompagnement journalier, nécessite 2 à 3 heures minimum par jour, ce qui représente un parcours d'environ 15 à 20 kilomètres d'accompagnement obligatoire. L'animal lâché sur des voies nocturnes de sanglier en milieu de journée, ne doit à aucun moment, faire cas et poursuivre des multitudes de gibiers rencontrés sur son parcours, toutes espèces confondues.

Il est important de savoir que dans tous les cas de changement de maître ou accompagnateur, ce dernier doit impérativment accompagner le chien en cours de rapproché, voire même les aboies au ferme, si possible.